Près de la moitié (47 %) des directeurs généraux reconnaissent avoir refusé un candidat qui avait menti sur son CV. C’est ce qui ressort d’une étude menée par le bureau de recrutement spécialisé Robert Half auprès de 300 DG en France.
Les recruteurs ne cessent de le répéter “Il ne faut pas mentir sur son CV”. Pourtant, 47 % des DG ont déjà exclu un candidat d’un poste au sein de leur entreprise après avoir découvert des informations fausses ou exagérées dans son CV.
Expérience et formation
Principalement, les candidats qui ont été pris la main dans le sac mentaient sur leur expérience (55 %). 53 % des responsables de l’embauche ont également remarqué que les candidats mentaient à propos de leurs diplômes et de leurs qualifications. D’autres exagéraient le champ de leurs responsabilités et les tâches qu’ils réalisaient dans leurs postes précédents (26 %)
Compétences exagérées
Les candidats surestiment également leurs capacités, notamment quand il s’agit de leurs compétences techniques (39 %), de leur niveau en langues (33 %). Toutefois, seuls 17 % des répondants ont surpris un candidat en train de mentir sur sa rémunération précédente.
Et vous ?
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