Si l’assurance vie est connue pour être un produit d’épargne parmi les plus plébiscités par les français, elle n’en reste pas moins un moyen de transmettre un capital après son décès avec des conditions fiscales avantageuses. Aussi, le taux de rémunération de l’assurance vie est à prendre en considération mais la rédaction de la clause bénéficiaire est également à regarder de près.
Désigner des bénéficiaires en cascade
De manière générale, les clauses bénéficiaires standards sont rédigées de cette façon : « Mon conjoint, à défaut mes enfants nés ou à naître, par parts égales entre eux, vivants ou représentés, par parts égales entre eux, à défaut mes héritiers légaux selon les règles de la dévolution successorale ». Cela veut dire que lors du décès du détenteur de l’assurance vie le capital ira dans un premier temps au conjoint. Si celui-ci est décédé également alors cela ira aux enfants et si la personne n’a pas d’enfants ou s’ils sont décédés alors le capital ira aux héritiers. C’est le principe de désigner des bénéficiaires en cascade, cela permet d’éviter de perdre l’avantage fiscal de l’assurance vie au cas où le seul bénéficiaire désigné est lui aussi décédé. Pour cette raison, il est généralement conseillé d’envisager le pire lors de la rédaction de la clause et de terminer celle-ci par : « à défaut mes héritiers légaux ». Ainsi, si aucune des personnes désignées ne peut récupérer le capital, les héritiers restants pourront tout de même bénéficier de l’avantage fiscal de l’assurance vie.
Anticiper les changements de situation
Au-delà de ce premier point d’attention, il faut prendre en compte le fait que les changements de situation peuvent avoir un impact sur l’assurance vie en cas de décès. Aussi en cas de divorce, ou de nouvel enfant, une clause bénéficiaire trop précise peut s’avérer défavorable à certaines personnes. Si le titulaire écrit par exemple « à ma femme Aude, et à mes enfants Clément et Julie », mais qu’entre temps un troisième enfant arrive ou qu’un divorce est prononcé, la clause bénéficiaire ne concernera toujours que « Aude » et les enfants « Julie et Clément » et non une éventuelle nouvelle conjointe ou l’enfant supplémentaire. Il est donc conseillé de désigner ses bénéficiaires par leur qualité et non par leur nom. Par exemple : « A mon conjoint et à mes enfants, nés ou à naître », tout en gardant à l’esprit que rédigé de cette façon la clause prend en compte des enfants futurs mais ne prend pas en compte un premier conjoint éventuel, seul le conjoint au moment du décès est retenu.
Imaginer le pire
Lors de la rédaction de la clause bénéficiaire, il est généralement imaginé que le premier bénéficiaire sera toujours en vie, ou à défaut, le second. Mais dans le cas où lors de la transmission du capital de l’assurance vie le ou la conjoint(e) est aussi décédé(e) et que les enfants le sont également, si les petits-enfants ne sont pas prévus dans la clause bénéficiaire, ils ne pourront pas bénéficier de l’avantage fiscal associé. Pour pallier à cela, il est important de rajouter après certains bénéficiaires la mention « vivants ou représentés ». Exemple : « à mes enfants, nés ou à naître, vivants ou représentés ».
Le choix du montant
En ce qui concerne le capital, si l’on veut avoir son mot à dire sur le montant à donner à chacun, il faut prendre en considération que le montant global de l’assurance vie peut être amené à évoluer dans le temps. Il vaut donc mieux raisonner en pourcentage ou en part afin de s’assurer que le partage ne créé pas de problème le jour où le capital sera transmis. Exemple « A mes enfants à part égale » ou « A mon conjoint à hauteur de 50% puis à mes enfants à part égale ».
Profitez dès aujourd’hui d’un contrat d’assurance vie en ligne performant pour réaliser tous vos projets avec Bourse Direct…
En ce moment jusqu’à 170€ de prime offerte* pour toute 1ère adhésion à Bourse Direct Horizon avant le 30 avril 2021inclus. *SOUS CONDITIONS. Découvrir l’offre : Bourse Direct
L’investissement sur les supports en unités de compte supporte un risque de perte en capital puisque leur valeur est sujette à fluctuation à la hausse comme à la baisse dépendant notamment de l’évolution des marchés financiers. L’assureur s’engage sur le nombre d’unités de compte et non sur leur valeur qu’il ne garantit pas.
Bourse Direct Horizon est un contrat d’assurance vie de groupe à adhésion individuelle et facultative libellé en euros et/ou en unités de compte et/ou en engagements donnant lieu à la constitution d’une provision de diversification assuré par Generali Vie, entreprise régie par le code des Assurances.
Le document d’information clé du contrat Bourse Direct Horizon contient les informations essentielles de ce contrat. Vous pouvez obtenir ce document auprès de Bourse Direct ou en vous rendant sur le site www.generali.fr.
Bourse Direct, Société Anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital de 14 064 297 €. RCS Paris B 408 790 608. Siège social : 374, rue Saint-Honoré – 75001 Paris. Société agréée en qualité de prestataire de services d’investissement par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (« ACPR » – https://acpr.banque-france.fr), supervisée par l’Autorité des marchés financiers (« AMF » – www.amf-france.org) et courtier d’assurance immatriculé à l’ORIAS sous le n°08044344 (www.orias.fr). Garantie financière et assurance de responsabilité civile professionnelle conformes aux articles L.512-6 et L.512-7 du Code des assurances. Service réclamation : rubrique contact du site www.boursedirect.fr. Bourse Direct n’est liée par aucun contrat d’exclusivité avec un assureur et n’a aucun lien capitalistique avec l’assureur.
Information publicitaire à caractère non contractuel.