Cet article est sponsorisé par DocuWare.
L’entreprise allemande propose un panel d’outils pour la gestion électronique des documents (GED) dont l’objectif est de faciliter la gestion des processus des PME et ETI. Présente depuis 10 ans en France, DocuWare a connu une forte croissance l’année dernière, portée par la nécessaire digitalisation des entreprises en période de Covid-19. Olivier Rajzman, directeur commercial France de DocuWare, revient sur les bénéfices de passer le cap de la dématérialisation.
DocuWare affiche plus de 30 ans d’expérience sur le sol allemand. La filiale française a vu le jour il y a un peu plus de 10 ans. Pouvez-vous revenir sur le cœur de métier de l’entreprise ?
Nous sommes un éditeur de gestion électronique de documents (GED) et de workflow. Concrètement, nous répondons à différents besoins : le stockage et la conservation de documents, le partage de ces mêmes documents mais aussi la dématérialisation des différents processus métiers au sein de l’entreprise, comme la validation de factures en interne. Nous travaillons avec les fonctions support de l’entreprise (achats, RH, services commerciaux et services qualité essentiellement). L’essentiel de notre activité consiste à équiper les services achats, cela représente 70 % de nos projets. Et dans notre approche, nous conseillons à nos clients de dématérialiser d’abord tout ce qui concerne la facture fournisseurs. Tout simplement car c’est une vraie vitrine au sein de l’entreprise pour accompagner le changement. Car c’est un domaine transverse et dont le ROI en matière de productivité est conséquent, de l’ordre de 20 à 30 %.
Quels types d’entreprises font appel à vous ? Quelles ont été vos performances sur les derniers exercices ?
Nous ciblons en priorité les PME et ETI de 50 à 500 salariés. Nous accompagnons également des grands-comptes, mais c’est plus par opportunisme que par stratégie. Depuis deux ans, nous avons également pensé des offres préconfigurées qui peuvent se déployer dans les toutes petites entreprises, le tout en moins de trois jours. Notre souhait est de toujours apporter de la valeur ajoutée à nos clients et leur permettre de faire évoluer régulièrement leur solution. Sur l’exercice 2021-2022 (clôturé fin mars), le groupe a réalisé 76 millions d’euros (contre 62 millions l’exercice précédent). En France, nous affichons un chiffre d’affaires de 6,7 millions d’euros, contre 4,9 millions pour l’exercice précédent, soit une hausse de 40 %, ce qui est énorme !
Comment justement expliquer ces très bonnes performances ?
Il y a deux boosters à notre activité. Le premier, logiquement, fut la crise de la Covid-19. Il y a eu une digitalisation à marche forcée à travers le télétravail. Les entreprises n’avaient plus le choix et il y a eu une vraie prise de conscience concernant la nécessité d’équiper tous les services, et notamment ceux dédiés aux ressources humaines. Avant la crise, les projets liés aux RH ne représentaient que 5 %, désormais cela correspond entre 10 % et 15 % de notre activité. L’autre raison est liée à la législation. À partir de 2024, les entreprises auront l’obligation d’émettre (et donc de recevoir de la part de leurs fournisseurs) des factures électroniques. Cela se fera sur plusieurs années, en fonction de la taille de l’entreprise. Mais c’est un vrai effet levier.
Dans ce marché porteur01, comment DocuWare se différencie ?
Notre positionnement est simple : nous proposons une gestion électronique des documents qui est globale et transverse. Nous ne voulons pas nous spécialiser sur un service en particulier. Notre différenciation est là : notre outil va pouvoir se déployer à l’ensemble de l’entreprise, quels que soient les processus. Aussi, notre solution est tellement souple, adaptable, riche et fonctionnelle qu’elle s’intègre parfaitement à tous les systèmes d’information (CRM, ERP, système de messagerie comme Outlook, outils collaboratifs comme Teams, etc.) C’est un vrai point fort que l’on met en avant.
Pour en savoir plus : Gestion électronique de documents (GED) et workflow – DocuWare