Pour améliorer la performance de votre portefeuille d’actions, rien de mieux qu’en alléger la fiscalité en plaçant vos titres dans un PEA et/ ou un PEA-PME.
Le principe de ces deux enveloppes est simple : cinq ans après leur ouverture, les gains (plus-values et dividendes) réalisés en leur sein sont exonérés d’impôt (mais pas de prélèvements sociaux). Et ce, dans la limite d’un versement maximal de 150 000 euros pour le PEA et de 75 000 euros pour le PEA-PME. Seul bémol : leur palette d’investissements est plus limitée que celle d’un compte-titres classique.
Des restrictions
Concrètement, ne peuvent être inscrites sur un PEA que des actions de société de l’Espace économique européen (Norvège et Islande incluses) ainsi que certaines parts d’OPCVM (organisme de placement collectif en valeurs mobilières). De même, ne sont éligibles au PEA-PME que les titres de Petites et moyennes entreprises (PME) et d’Entreprises de taille intermédiaires (ETI).